top of page

Les contes étranges (pommeraye)

2015. Réalisé par Franck Jouneau

20'

 


Avec:

 

Enora Marcelli : Vénus
Bertrand Chevalier : Le veilleur de nuit
Gérard Bourgarel : Le Directeur de l'hôtel
Samia Sidi-Aissa : La femme de chambre

 

 

 

Produit par: Hôtel Pommeraye

                          Un château dans la brume

 

Scénario et dialogues: Guy Autret

                                               Franck Jouneau

Cadreur : Guillaume Kerhervé

Opérateur prise de son: Raphaël Douillard
Maquilleuse : Jade Morice

Coiffeur: Tyffred Laloggia
Régisseur : Jean Cheneau

Monteur: Robin Larquier-Laplace

Enregistrement studio / Mixeur: James Wood
Making-of : Orlanda Ribeiro

Musique: Charles-Eric Charrier 

                    Komlanvi Bel

                    Ronan Benoît

 

 

Venus se réveille sur son coquillage dans la douche d’une chambre de l’Hôtel Pommeraye. Après s’être apprêtée, elle sort de sa chambre et déambule dans l’hôtel, découvrant ses mystères et ses pièces cachées.

 

 

Les contes étranges (Pommeraye) est un court-métrage expérimental qui a été pensé comme le pendant cinématographique d’un concert de Charles-Eric Charrier enregistré à l’Hôtel Pommeraye le 15 novembre 2014.

 

Le tournage a eu lieu dans l’hôtel le 3 juin 2015 et le film a été photographié au Canon 5D Mark II. Il n’y a presque pas eu de captation sonore directe, mais une voix off, dont l’enregistrement a eu lieu en studio, compose la bande sonore avec la musique du live enregistré en amont.

 

Franck Jouneau et son équipe ont été choisis pour créer un objet cinématographique dont la nature était libre, avec pour seule contrainte de mettre en valeur l’hôtel. Si le film s’appuie sur des symboles et des thématiques fortes, son scénario n’en demeure pas moins minimaliste, afin de laisser la déambulation et l’errance de Vénus envahir et dévorer le métrage.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les contes étranges (Pommeraye) s’inspire du tableau La naissance de Vénus de Sandro Botticelli. S’éveillant nue à l’intérieur d’une douche, Venus part à la découverte d’un hôtel et de ses lieux évoquant plusieurs époques, la roue du temps étant symbolisée par une rosace tournant continuellement sur le film.
 

Le film est au croisement de plusieurs approches, quelque part entre l’expérimental onirique, le vidéoclip et la poésie parlée, le tout avec un profond ancrage fantastique.


Le montage d’un tel film est très particulier: il faut davantage prêter attention à l’harmonie et à la force évocatrice des formes et des mouvements.

 

 

bottom of page